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Antidépresseurs – Un arrêt plus difficile avec certaines molécules

Certains antidépresseurs, comme la paroxétine (Deroxat), provoquent plus souvent que d’autres des syndromes de sevrage, des difficultés importantes liées à leur arrêt.

 

Lors de l’arrêt d’antidépresseurs, environ une personne sur deux subit un syndrome de sevrage. Ce syndrome est dû à une sorte de manque et se manifeste par des maux physiques (maux de tête, troubles digestifs, fatigue) comme psychiques (insomnie, anxiété, idées suicidaires…).

La prise de certains antidépresseurs semble particulièrement favoriser la survenue de ces troubles. Il s’agirait des antidépresseurs à « demi-vie courte », c’est-à-dire ceux qui sont le plus rapidement éliminés par l’organisme. Pour vérifier cette hypothèse et préciser quels antidépresseurs sont concernés, des chercheurs de la faculté de médecine et du CHU de Toulouse ont plongé dans la base de données mondiale de notifications des effets indésirables.

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