Seulement 41 % des contenus sponsorisés mis en ligne par les influenceurs seraient clairement identifiés comme étant financés par des marques. Des initiatives sont prises pour responsabiliser le secteur, mais la situation est encore loin d’être acceptable.
Parler d’un produit ou d’un service dans une vidéo, dans un tweet, sur son compte Instagram ou sur son blog, c’est possible. Mais dès lors qu’il existe une contrepartie de la part de la marque, la loi considère qu’il s’agit de publicité. L’influenceur est alors tenu de le mentionner. Sauf que dans les faits, c’est rarement le cas.