Par les temps qui courent, acheter une montre « de luxe » à 49 € sur Instagram ou Facebook, c’est comme croire au Père Noël en plein mois de juin. Et pourtant… Plus d’un Français sur deux se laisse encore influencer, pour acheter sur les réseaux sociaux.
Résultat ? Une avalanche de déceptions « made in dropshipping ».

Une montre commandée, trois semaines d’attente, un produit en toc qui ressemble vaguement à la photo, et un SAV qui répond en morse… si on a de la chance. Le dropshipping, c’est le téléachat 2.0 : l’influenceur encaisse, le fournisseur chinois expédie, et vous, le consommateur, vous pleurez. Le tout saupoudré de faux avis. Alors oui, c’est légal, sur le papier. Mais dans les faits ? C’est souvent du grand n’importe quoi.
Moralité : si une offre vous semble trop belle, c’est qu’elle l’est.
Et si un influenceur vous jure que cette montre va changer votre vie… Regardez d’abord l’heure. Celle du bon sens.