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Litige gagné : Décathlon

🛴 Ça patine… mais ça repart !

Monsieur B avait fait l’acquisition d’une trottinette chez Décathlon Comboire en 2012. Utilisateur précautionneux, il en prenait grand soin jusqu’à ce qu’une panne survienne en août dernier.

Confiant, il retourne au magasin pour demander une réparation… mais l’accueil est loin d’être au rendez-vous.


🙅‍♂️ Ping-pong entre vendeur et constructeur

Décathlon refuse d’intervenir et invite Monsieur B à contacter directement le constructeur, Xaomi.
La réponse de Xaomi tombe : « L’oxydation n’est pas couverte par la garantie. »
Pourtant, la trottinette bénéficie d’un indice de protection IP54, garantissant une résistance aux éclaboussures. Logiquement, une corrosion n’aurait pas dû apparaître ! 🤔


📩 Une bataille de courriers

Après plusieurs échanges, Décathlon campe sur sa position :

« Le fait que la trottinette réponde à un indice de protection permet d’affirmer que l’oxydation n’est pas due à un défaut. »

Mais c’était sans compter sur l’intervention de notre conseiller litige. 📚


⚖️ Rappel du droit : le vendeur reste responsable !

En vertu du droit de la consommation, c’est le vendeur – ici Décathlon – qui est responsable vis-à-vis du client.
La garantie légale de conformité impose au vendeur de prendre en charge toute panne, sauf preuve d’un mauvais usage ou d’un mauvais entretien, ce qui n’était pas le cas ici.


🔧 Décathlon finit par réparer !

Face à cette mise au point juridique, Décathlon a finalement procédé à la réparation de la trottinette de Monsieur B. ✅

Une belle victoire pour le consommateur…

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