Les dispositifs d’investissement en immobilier défiscalisé se sont succédé ces dernières décennies : De Robien, Pinel, Duflot, Besson, Scellier… Plus de 1 000 inscrits à notre newsletter hebdomadaire ont répondu à notre questionnaire pour estimer l’intérêt de ces programmes et surtout leur retour sur investissement.
Quel que soit le nom (De Robien, Pinel, Duflot, Besson, Scellier, etc.), les différents dispositifs de défiscalisation immobilière qui se sont succédé au cours des années possèdent le même objectif : inciter, via une carotte fiscale, des particuliers à investir dans l’immobilier locatif (acheter un bien pour le mettre en location). L’État cherche à travers ce soutien à encourager la construction de biens à prix maîtrisés et ainsi à compenser le manque de logements en France. Concrètement, les investisseurs qui respectent les critères de location, de durée et de plafonnement des tarifs pourront déduire de leur assiette fiscale une part importante du montant des loyers perçus. Un avantage qui a séduit des centaines de milliers de consommateurs depuis une trentaine d’années. Reste que tous les programmes d’immobilier défiscalisé ne se valent pas. Comme pour toute opération de promotion immobilière, l’emplacement du logement, le prix d’acquisition et la qualité du bâti sont des critères déterminants pour espérer dégager un bénéfice. Or les investisseurs ne sont pas toujours bien informés de tous ces éléments.